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L’astrologie pour mieux comprendre son enfant

L’astrologie humaniste, en tant qu’outil de connaissance de soi, permet d’établir un portrait psychologique de son enfant (caractère, besoins psychologiques, activités ressources, santé …).


En effet, l’enfant, dès la naissance, porte déjà en lui tout son devenir en termes de potentialités et l’astrologie par le « Qui suis-je ? Quel est mon plan d’incarnation ? « va être un révélateur de tout ce qu’il est appelé à devenir et être. Tout cela teinté de son libre arbitre.

Rien d’écrit à l’avance mais des grandes lignes d’orientation, fonction de notre génétique et de l’épigénétique ; acquis et inné autrement dit.


Dès la naissance, l’enfant a ce moteur intérieur qui le pousse à grandir : à découvrir, marcher, parler … comme l’a souligné Maria Montessori dans sa pédagogie.

Sa personnalité évoluera ainsi en fonction de son tempérament de base, de ses découvertes et du bain familial et éducatif dans lequel il se trouve.


L’astrologie, par le thème de naissance, permet de déceler ce que l’enfant porte déjà en lui en termes de tempérament mais aussi de besoins, de problématiques à résoudre, de talents et d’activités qui lui conviennent ainsi que d’éventuels risques de santé.


Ainsi, par exemple, si l’enfant est né sous le signe du bélier (autrement dit, il a le soleil en bélier dans son thème), il aura besoin d’action, sera plutôt indépendant, meneur et fonceur. Il cherchera à s’affirmer dans tout ce qu’il fait. Le sport sera, en ce sens, un bon exutoire pour lui. La lune, dans son thème, indiquera sa sensibilité de base et les domaines où il se ressource. Portrait psychologique qui sera complété par les nombreux autres éléments (planètes, maisons, aspects …) qui interviennent dans son thème.


L’astrologie est un des outils de connaissance de soi qui favorisera une meilleure compréhension de qui est l’enfant avec ses capacités, ses difficultés et les activités où il réussira le mieux.

L'auteur

Olivier Chabot

Thérapeute du langage du corps, énergéticien et astrologue humaniste


Article rédigé par Benjamine d'Evry, kinésiologue


La gymnastique pour apprendre facilement !

Brain Gym, ou gymnastique du cerveau, est la technique développée par Paul Dennison pour redonner aux enfants le plaisir d’apprendre et donc leur donner accès à la fluidité de l’apprentissage.


Le mouvement corporel est la porte de l’apprentissage : « je bouge donc je suis ».


La Brain Gym utilise donc ce lien qui existe entre les mouvements du corps et les fonctions cérébrales. Elle s’adresse d’ailleurs autant aux enfants qu’aux adultes.


Chaque fois que nous nous sentons « bloqués », « gauches », que ce soit pour lire, écrire, mémoriser ou nous adapter à de nouvelles situations, la gymnastique du cerveau peut apporter les solutions.


  • Les jeunes enfants apprennent naturellement. Ils sont décontractés et fluides dans leurs apprentissages, ils savent instinctivement comment apprendre, absorbant énormément d’information en peu de temps. Si l’enfant est libre de bouger, d’explorer, de voir, d’émettre des sons dans un bon environnement affectif ou il reçoit amour et encouragements, l’apprentissage se fait seul et sans aucune difficulté. Dans ce cas, l’apprentissage se fait « hémisphères intégrés ».


  • En revanche, lorsque l’apprentissage se fait sous stress, avec la peur de mal faire et beaucoup d’interdits, il se fait avec un seul hémisphère en spécialisation homo-latérale. Dans ce cas, stress et apprentissage sont ancrés ensemble et fusionnent.


Les mouvements de Brain GYM permettent de rétablir un modèle d’apprentissage fluide en lien avec le plaisir !


Dans mon cabinet, je vois régulièrement des adultes et des enfants qui n’arrivent pas à croiser leur membres (cross crawl des bras et des jambes) sans réfléchir ou se concentrer énormément sur le mouvement demandé. On remarque la maladresse et l’hésitation corporelle. Lorsque je leur demande si la concentration et la mémorisation sont compliquées, la réponse est OUI.


Dans ce cas, les mouvements Brain GYM de Dennison, répétés régulièrement, permettent à l’enfant de traiter les informations avec ses deux cerveaux simultanément.

Ce travail est très rapide. En quelques mois, les changements de comportements sont spectaculaires, quelque fois au cours de la première séance, il y a des changements appréciables.


L'auteure

Benjamine d'Evry

Kinésiologue formée à l’école Corps de Paris




Article rédigé par Olivier Chabot, Thérapeute du langage du corps, énergéticien et astrologue humaniste


Il y a chez l'être humain cinq blessures émotionnelles : rejet, abandon, trahison, humiliation et injustice. Nous en avons tous avec des dominantes.

Ces blessures, d'après les travaux de Lise Bourbeau, sont réveillées ou révélées, à des âges précis durant l'enfance, par nos parents car ils sont notre premier miroir.


Ces blessures apparaissent dans un ordre précis en fonction de l'âge de l'enfant et de son ressenti. Pour exemple, celui de ma famille. Ma famille est une famille recomposée, j’ai trois belles filles et un fils. Le père des filles est décédé alors que les deux plus jeunes filles avaient respectivement trois ans et quatre ans. La plus jeune a vécu le décès comme un abandon alors que celle de quatre ans l’a vécu comme une trahison. Même fait mais ressenti différent car les filles étaient à un stade différent de développement.

Ainsi, la blessure de rejet apparaît lors de la grossesse ou jusqu'à l'âge d'un an ; soit parce que l'enfant n'était pas désiré ou parce que ce dernier l'a ressenti comme tel.


N'oublions pas que le bébé, dans le ventre de la mère, ressent toutes les émotions de cette dernière. L'enfant portera alors ce sentiment de rejet tant qu'il n'aura pas résolu cette problématique. Il sera de nature réservée, sérieuse, susceptible, plutôt solitaire et sera enclin aux problèmes de peau, à l'hypoglycémie et aux états dépressifs. L'enfant, pour sortir de cette blessure de rejet, a besoin d'être rassuré et de sentir qu'il compte dans ce monde.


La blessure d'abandon apparaît entre les un an et les trois ans de l'enfant, au moment du stade oral de son développement ; soit parce que ce dernier a été abandonné ou parce qu'il s'est senti abandonné, portant cette blessure en lui ( exemple : départ en vacances d'un des parents, départ qui est interprété comme un abandon ). L'enfant analysera alors les situations où on ne s'occupe pas de lui sous l' angle de l'abandon. Il sera de nature dépendante, de constitution plutôt chétive, réclamant de l'attention et sera enclin aux migraines et aux maladies auto-immunes pour qu'on ne l'oublie pas. L'enfant, pour sortir de cette blessure d'abandon, a besoin d'être nourri émotionnellement et de pouvoir compter sur les autres.


La blessure d'humiliation apparaît entre les un an et les trois ans de l'enfant par l'intermédiaire du parent qui s'occupe de son éducation. L'enfant, portant cette blessure, s'est senti indigne ( exemple : il rentre sale et se fait rouspéter d'être dans cet état ). L'enfant gardera ce sentiment d'humiliation, aura du mal à dire non et se sentira indigne d'être aimé. Il sera enclin à prendre du poids et à avoir des problèmes de dos ou d'épaule. L'enfant, pour sortir de cette blessure d'humiliation, a besoin de se sentir aimé et approuvé dans ses choix.


La blessure de trahison, quant à elle, apparaît entre les deux ans et les quatre ans de l'enfant, au moment de L'Oedipe car l'enfant s'est senti trahi amoureusement. L'enfant ne fera plus confiance. Il sera de nature contrôlante, facilement colérique, manquant d'estime de lui, cherchant à montrer sa force et sera enclin à des problèmes digestifs et aux tendinites. L'enfant, pour sortir de sa blessure de trahison, a besoin de se sentir en confiance.


La blessure d'injustice apparaît entre les quatre ans et les six ans de l'enfant, vers l'âge de raison quand il a ressenti qu'il ne pouvait pas vivre en fonction de ses aspirations mais qu'il devait se conformer à une éducation rigide qui lui indique ce qu'il faut faire. L'enfant se coupera alors de son ressenti, cherchera à être parfait dans tous les domaines et sera enclin aux problèmes de tendinites et au burn-out adulte. L'enfant, pour sortir de cette blessure d'injustice, a besoin de se sentir aimé pour ce qu'il est et non pour ce qu'il fait.


Cette blessure vient souvent compenser une blessure plus profonde, de rejet ou d’abandon d’après les travaux de Lise Bourbeau.


L'auteur

Olivier Chabot

Thérapeute du langage du corps, énergéticien et astrologue humaniste




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